Après Bruxelles et Londres, Luxembourg est la nouvelle étape choisir par l’équipe d’All we can do pour aller à la découverte de la vitalité de sa scène chorégraphique. Dans Rhythms, nous découvrons quatorze interprètes en mouvement dans la ville, comme autant de portraits de lieux et de moments de danse, afin de cartographier ce qui
Nous avons tourné ce film à Budapest au mois d’octobre 2018, invité par Gábor Pintér de Parallel Art Foundation qui s’occupe de faire vivre les liens entre danse et cinéma en créant des échanges internationaux entre la Hongrie et l’international. En collaboration avec dix danseurs, danseuses et chorégraphes nous avons parcouru la ville de
Un projet et une chorégraphie de Tatiana Julien. Création le 22 juin 2018 au Château de Vincennes pour le festival Monuments en Mouvement du Centre des Monuments Nationaux ainsi que pour le Festival JUNE EVENTS de l’Atelier de Paris CDCN.
Seconde improvisation filmée avec Désirée Ballantyne. Nous parcourons les rues du quartier chic de South Kensington et l’on décide de s’arrêter dans cette rue calme, pour explorer les contrastes entre l’endroit et la danse délicate de Désirée.
In London est un voyage à travers les rues de la ville. Nous découvrons neuf danseurs improvisant dans différents lieux, partageant leur humeur, leur danse, leur personnalité et dévoilant chaque fois une facette de la ville. C’est une invitation à être emporté par le mouvement et à célébrer sa spontanéité. Auteur/Réalisateur/Chef Opérateur/Compositeur Danse 30’ –
Rendez-vous à la gare de King’s Cross, bruyante et bondée, où l’on retrouve Ian Garside juste avant qu’il ne saute dans son train. Une bonne occasion de jouer avec la foule et parmi les gens. Dancing Cities – London Une ville, un endroit, un interprète, une improvisation, une caméra. Avec la « London series » on
Dernier épisode de notre série Bruxelloise. C’est la Raffinerie de Charleroi-Danses qui nous accueille. Du toit, une vue imprenable sur la ville s’offre à nous. En coin, presque timide, la danse de Renan Martins De Oliveira s’émancipe pour occuper l’espace de la plateforme qui résonne sous ses pas.
5eme épisode de notre série Bruxelloise. Nous nous faufilons entre les travaux pour arriver au bout du quai de la gare désertée de Bruxelles Chapelle. Le trou noir du tunnel laisse jaillir des trains qui propulsent la danse électrique de Maria Eugenia Lopez.
Imiter les vagues, se confondre avec l’immensité qui déferle sur le sable. Se retrouver étendu au sol, écrasé par la pesanteur. Trouver en soi les ressources pour inverser la tendance et se détacher de l’attraction exercée par l’océan. La danse puise sa force dans la nature. En tant qu’enfants, nous imitons le mouvement des
Chercher, chercher, à se perdre dans les méandres du réseau du métro parisien. Ne pas trouver le lieu pour lequel on était venu et trouver par hasard, l’endroit, le moment parfait… C’est là toute la magie de ces séquences dansées…